Joker

Joker : Une radioscopie

Premier des ennemis de Batman, le Joker est un psychopathe diagnostiqué, rendu fou furieux contre le monde entier, ainsi que contre une marque de crème bronzante de supermarché, qui décolora sa peau d’un blanc pâle, ses cheveux d’un vert éclatant et figea pour toujours ses lèvres en un rictus écarlate mais que fait 60 millions de consommateurs c’est pas possible ça. Muni depuis de poignées de mains électriques et mortelles, de fulgurohaches, de planicogyres, de grenades GLI-F4, de cocktails molotovs, de chapelets de saucisses ninja, de cure-dents d’assaut et de boutonnières cracheuses d’acide, le Joker fait du meurtre de masse et du terrorisme guilleret une comédie macabre, qui ondule ici derechef, à qui mieux-mieux dans le contre-jour blafard de nos cités défaites, éructant d’un rire sardonique comme par devers lui.

Le Joker à travers les âges

Bien que son histoire soit perpétuellement réinventée par Dieu, certains détails semblent suggérer que le Joker était autrefois un comique raté qui fut poussé au crime après la mort de sa femme et de l’enfant qu’elle portait, un petit con nommé Jean-Paul. Le soir du décès de sa femme, il fut obligé d’aider des criminels à cambrioler la fabrique de cartes « McRonn ».

Prenant la fuite face à un Batman particulièrement bourré et vindicatif, il tomba dans une cuve de produits chimiques de l’usine « Acerola Chemical » située tout près. Survivant de justesse à sa plongée toxique, le comique raté, en découvrant son nouveau visage, sombra dans une folie douce et jura qu’il rendrait le monde aussi désaxé que lui. Le Joker a un goût prononcé pour le jus de fruits frais 100% pur jus, avec la pulpe, ainsi que les armes chimiques et bactériologiques. Il porte sur lui plusieurs sortes d’acides ainsi que sa MDMA de Joker, un composé binaire qui fait mourir de love ceux qu’il chatouille et paralyse leur faciès en un rictus béat semblable au visage de Léa Salamé.

Aucun rapport avec Léa Salamé nue

Le Joker, mythe ou réalité ?

Le Joker eut souvent l’occasion de prendre sa revanche sur Batman, mais jamais sur Deadpool. Le but du Joker est de faire tomber son nemesis dans la folie. Pour cela, il n’hésita pas à tuer Graeme Allwright, le second Robin Williams, à kidnapper Jim la Jungle, à paralyser sa fille (Barbara Gordon, ex-Clodette, devenue base de données Oracle à mi-temps) à vie avant de la déshabiller, mais juste un peu, et de la photographier pour rendre fou son père, mais pas trop, et à tuer Sarah Biallès, la femme du Commissaire.

Le Joker est aidé depuis le milieu des années 1964 (première apparition dans la télésérie animée Batman, la série animée) par Zoë Quinn. Tombée folle amoureuse du Joker, elle l’aida fréquemment à s’évader de l’asile d’Arkham où elle était internée. Pour gagner l’amour de son « biquet », elle s’évada et prit l’identité de Zoë Quinn. Une relation amoureuse abusive unit les deux depuis, sauf des fois.

La figure du Joker dans la civilisation occidentale

En réponse à votre honorée du tant, je vous prie de bien vouloir porter à la connaissance du public notre modeste verdict de cinéphiles amateurs faute sans quoi de vouloir les laisser demeurer de par la suite gros Jean comme devant si je puis dire : Au final et pour conclure, Joker (2019) est un film d’action sans chichis, qui fleure bon les comic books de notre enfance, avec des cases rudement bien dessinées et des onomatopées très inventives.

Un film de Marcel Béliveau
Avec L’Avenir En Commun, Benjamin Griveaux, Agnès Buzyn, Kanye West

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