Professeur de littérature à l’université de Lausanne, Marc a la réputation de collectionner les aventures amoureuses avec ses étudiantes.
Quelques jours après la disparition de la plus intelligente d’entre elles, souvent aperçue avec lui, sa mère mène l’enquête et se rend compte que ce brave Marc n’y est visiblement pour rien et que sa réputation est injustifiée, puisqu’il n’aime que les otaries, en raison d’une déviance sexuelle de dedans sa tête. Éplorée, Anna se tape la poitrine en hululant. Marc la regarde alors dans le blanc des yeux et dit : « Dis, dis, j’ai dit je me souviens quand nous avions l’habitude de nous asseoir dans le jardin de l’État à Ville-tranchée. Oba, ob-servant les hypocrites, comme ils se confondent avec les bonnes personnes que nous rencontrons. Les bons amis que nous avons eus, oh bons amis nous avons perdu le long du chemin. Dans cet avenir brillant, vous ne pouvez pas oublier votre passé, alors séchez vos larmes, je dis « Aucune femme, aucun cri, Aucune femme, aucun cri, oh ma petite sœur, ne déverse pas de larmes, aucune femme, aucun cri ».
Un film de Charles Saucisse d’après le roman « Salammbô » de Boris Vian
Avec Patrick Bouchitey, Booba, Valérie Trierweiler, Julie Gayet